Festival OFF Avignon

Festival OFF d’Avignon.

Responsable chargée de relations / contact en FranceHuguette Schneider. Eurythmiste.

 huguetteschneider@yahoo.fr      http://www.eurythmie13.fr

Cette année 2017, du 7 au 30 juillet au festival Off d’Avignon,

 L’Art d’être grand malgré tout ! D’après un conte oriental de Wilhem Hauff.

Spectacle tous publics à partir de 5 ans.

Eurythmie, danse, musique, théâtre.

Un spectacle virevoltant, exotique et coloré, drôle et touchant. Des babouches pour voler, une canne pour trouver de l’or, des pouvoirs magiques pour vaincre les méchants. P’tit Mouk, pauvre petit nain orphelin, poussé par la faim, va trouver sur son chemin ces objets enchantés et, grâce à eux, surmonter bien des épreuves. Ce sera l’occasion pour nous aussi d’aimer, de rire, de vibrer et de rêver.

Car celui qui, grand ou petit, rencontre ce P’tit Mouk avec son grand turban et son optimisme invincible, ne peut s’empêcher de l’aimer.

Un conte poétique, des danseurs à la légèreté virtuose, des décors chatoyants : un voyage magique dans un Orient fascinant, où les comédiens, danseurs et musiciens nous captivent.

Adaptation française du succès Allemand.

« L’ovation du public, applaudissant debout, récompense ce voyage plein d’humour, de fantaisie et de chaleur … » Ruhr Nachrichten, Barbara Zabka.

Théâtre du Centre. 13, rue Louis Pasteur. 84000 Avignon.

Dossier de presse: Le P’tit Mouk Dossier de presse

2014 : L’ensemble Mistral Eurythmie présente Le portrait de Dorian Gray.

L’Ensemble Mistral Eurythmie de Stuttgart est à nouveau au Festival Off Avignon avec cette année :

« Le Portrait de Dorian Grey » de Oscar Wilde
Chapeau d’Ebène Théâtre – 13 rue de la Velouterie – Avignon Intras muros
du 5 au 27 juillet 2014 à 20 H 10

Récitant, français : Wilhem Queras, directeur artistique de l’école de théâtre ACTEON – Arles

Article: Dorian Gray. Portrait

Article: Compagnie Mistral.D.Gray

2013. L’homme qui rit de Victor Hugo.

Compagnie : Mistral Eurythmie 

 CHAPEAU D’EBENE, THEÂTRE à 22h 30. Du 8 au 31 juillet 2013.

Le premier sentiment que l’on peut éprouver en voyant ce spectacle, c’est l’étonnement. Est-ce de la danse ? Assurément, du mime ? Pas tout à fait. Le récitant nous raconte l’histoire de l’Homme qui rit.  Sur la scène les mots de Victor Hugo deviennent gestes  de la même manière que le vent quand il remplit les voiles, ou quand il fait voler les feuilles à l’automne. La parole souffle et prends corps. Les personnages virevoltent, tourbillonnent, oscillent de l’un à l’autre portés par les sonorités. Les robes, les manteaux, les voiles, participent à ce mouvement des éléments. Les acteurs trouvent l’accord de l’espace et du temps. Ils sont à la fois terrestres et aériens. La voix du récitant, comme un phare, les guide et les transporte.

Les comédiens/danseurs sont des eurythmistes venus d’Allemagne où cet art du mouvement est pratiqué beaucoup plus qu’en France. Ce langage gestuel, c’est la parole qui s’incarne dans une sorte de langage  universel que l’on comprend d’emblée. L’étonnement du début persiste jusqu’à la fin et j’aime être surpris comme on peut l’être parfois, devant une œuvre d’art.

Ecrit par Claude Kraif.  17-07-2013

Article: Articles de Journaux.

Article : Héloïse de Neuville. Critique.